Le quotidien libanais "As-Safir" a fait valoir, dans son édition de mercredi, que le Maroc connait ces dernières années la prospérité d'un nouveau genre de tourisme à savoir "le tourisme linguistique et culturel".
Cable News Network (CNN), la plus importante et célèbre chaînes d'informations télévisées américaines a indiqué que le tourisme linguistique et culturel a drainé des milliers d'étrangers au Royaume, non seulement pour profiter de son soleil et de ses vastes plages, mais aussi pour apprendre la langue arabe soit dans le cadre de missions estudiantines, soit en raison d'une passion personnelle pour la culture arabo-musulmane soit encore pour des objectifs à caractère officiel, a souligné le journal.
Plusieurs centres d'enseignement de la langue arabe ont accueilli des touristes venus apprendre la langue arabe pensant qu'elle leur sera utile pour comprendre les questions auxquelles sont confrontées les sociétés arabo-musulmanes et démystifier le choc entre l'occident et le monde arabo-musulman, notamment après les événements du 11 septembre 2001, ajoute le quotidien.
A Rabat, relève l'auteur de l'article, le centre "Qalam wa lawh" d'études arabes accueille entre 500 et 600 étudiants chaque année dont 40% sont des américains, tandis que les autres se répartissent entre européens et asiatiques.
Le directeur du centre "Qalam wa lawh" d'études arabes, M. Adil El Khyari estime que l'installation d'étrangers dans un pays arabe, leur familiarisation avec la culture arabe provoquent un changement radical dans leurs pensées et leurs visions. La plupart du temps, ces étrangers ont des préjugés sur le monde arabo-musulman, les sociétés et la culture arabo-musulmanes, a fait observer le quotidien.
Le journal rapporte qu'une chercheuse américaine dans l'histoire de l'Andalousie, s'est rendue au Maroc pour approfondir sa connaissance de la langue arabe. Elle s'est rendue compte, lors de son séjour, que les origines des textes importants ayant trait au soufisme se trouvent dans les traditions arabo-musulmanes.
La chercheuse américaine, citée par As-Safir, explique, aussi, que son choix s'est porté sur le Maroc pour étudier l'arabe parce que le Royaume est situé à proximité de l'Andalousie, domaine de sa recherche. Le pays abritaient également les maures qui ont fui les tribunaux de l'inquisition en Espagne après la chute du royaume de Grenade.
Elle a en outre insisté que son choix pour le Royaume est du aussi à "la stabilité et l'ouverture de la société marocaine", souligne le journal.
Cable News Network (CNN), la plus importante et célèbre chaînes d'informations télévisées américaines a indiqué que le tourisme linguistique et culturel a drainé des milliers d'étrangers au Royaume, non seulement pour profiter de son soleil et de ses vastes plages, mais aussi pour apprendre la langue arabe soit dans le cadre de missions estudiantines, soit en raison d'une passion personnelle pour la culture arabo-musulmane soit encore pour des objectifs à caractère officiel, a souligné le journal.
Plusieurs centres d'enseignement de la langue arabe ont accueilli des touristes venus apprendre la langue arabe pensant qu'elle leur sera utile pour comprendre les questions auxquelles sont confrontées les sociétés arabo-musulmanes et démystifier le choc entre l'occident et le monde arabo-musulman, notamment après les événements du 11 septembre 2001, ajoute le quotidien.
A Rabat, relève l'auteur de l'article, le centre "Qalam wa lawh" d'études arabes accueille entre 500 et 600 étudiants chaque année dont 40% sont des américains, tandis que les autres se répartissent entre européens et asiatiques.
Le directeur du centre "Qalam wa lawh" d'études arabes, M. Adil El Khyari estime que l'installation d'étrangers dans un pays arabe, leur familiarisation avec la culture arabe provoquent un changement radical dans leurs pensées et leurs visions. La plupart du temps, ces étrangers ont des préjugés sur le monde arabo-musulman, les sociétés et la culture arabo-musulmanes, a fait observer le quotidien.
Le journal rapporte qu'une chercheuse américaine dans l'histoire de l'Andalousie, s'est rendue au Maroc pour approfondir sa connaissance de la langue arabe. Elle s'est rendue compte, lors de son séjour, que les origines des textes importants ayant trait au soufisme se trouvent dans les traditions arabo-musulmanes.
La chercheuse américaine, citée par As-Safir, explique, aussi, que son choix s'est porté sur le Maroc pour étudier l'arabe parce que le Royaume est situé à proximité de l'Andalousie, domaine de sa recherche. Le pays abritaient également les maures qui ont fui les tribunaux de l'inquisition en Espagne après la chute du royaume de Grenade.
Elle a en outre insisté que son choix pour le Royaume est du aussi à "la stabilité et l'ouverture de la société marocaine", souligne le journal.
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