O Português em Marrocos fluxo de turistas aumentou 47,8% no final de abril 2011

A tendência do mercado de turismo internacional em MarrocosPortugal mostrou um aumento significativo no desempenho em termos de chegadas que subiu de 47, 8% entre janeiro e abril, em comparação ao mesmo período em 2010, disse o marroquinoEscritório Nacional de turismo em Lisboa.

O dormidas de turistas em Português classificados também foramaté 24,5% nos primeiros quatro meses de 2011 comparado ao mesmo período do ano anterior, de acordo com a representação do ONMT.

Durante o mês de abril, o fluxo de Português em Marrocos tem aumentado significativamente em termos de chegadas (53,20%) enoites (18,55%) em comparação com abril de 2010, acrescentou a fonte.

Temporada de verão mostra uma forte demanda para o destinoMarrocos e programação por operadores turísticos de várioscharter Português, incluindo o destino turístico da região Saidia e Tanger-Tétouan, a partir de Lisboa e Porto, os dois principaisemissão cidades turísticas em Portugal.

Oferta de Marrocos turismo no mercado Português continuadiversificada e popular, permitindo a sua programação ao longo do ano por quase todos os prescritores de Viagem Portugal (Marrakech, Agadir, Imperial Cidades,....).

Diversas actividades promocionais foram iniciados para consolidar a posição de destino Marrocos, tanto entre os operadores de turismo e público em geral, disse a fonte,observando que o Português de saída em Marrocos continuar a teruma tendência gradual e fornecer um trampolim para operar uma expansão para os mercados lusófonos importante como o Brasil.

MAP

Jardin Majorelle : Visite guidée entre palmiers et bambous

JARDIN MAJORELLE Un après-midi, direction l’un des lieux les plus connus de Marrakech: le Jardin Majorelle. Cet espace botanique atypique créé il y a 80 ans, est l’oeuvre du peintre du même nom. Passionné de voyages, il visite un jour le Maroc et en tombe amoureux. Il y fait alors construire une villa dans le style mauresque et aménage progressivement un jardin autour de celle-ci. Visite guidée de ce havre de verdure au coeur de Marrakech, la rouge.

Un royaume de couleurs
Ce que je remarque, avant tout, lorsque je le parcours, ce n’est pas le bleu dont on m’a tant parlé, mais les couleurs verdoyantes qui m’entourent. Le vert clair des feuilles de palmiers, les cactus un peu plus foncés, ou encore la petite bambouseraie qui offre un spectacle de nuances de couleurs uniques. Je marche, impressionée, dans cette forêt miniature, où la végétation a pris ses quartiers et où les plantes s’entremêlent harmonieusement. Puis, j’arrive à hauteur d’un grand bassin central. Des oiseaux volent au dessus de ma tête et des coloris bleus, jaunes et oranges illuminent le décor. Des plantes exotiques bordent les fontaines alentours, et offrent aux visiteurs une vision unique de ce jardin, riche de couleurs et de senteurs, qui entoure la fameuse villa. Difficile d’imaginer que cet espace magique fut un jour laissé à l’abandon, après le décès de son créateur en 1962...
Seconde vie
Une vingtaine d’années plus tard, Yves Saint Laurent (dont la stèle est aujourd’hui exposée au sein même du jardin) et Pierre Bergé rachètent les lieux, qu’ils font restaurer en fondant « l'Association pour la Sauvegarde et le Rayonnement du Jardin Majorelle». Ils décident de doubler le nombre d’espèces du jardin et de transformer l’atelier en petit musée où ils y exposent leurs collections personnelles d’objets inspirés par l’art islamique. Mais les oeuvres d’art dévoilées n’égalent en rien ce que la nature nous propose à l’extérieur. Le parcours du jardin, organisé de façon harmonieuse et subtile, est une véritable invitation à la rêverie. Je regarde autour de moi. Des bribes de lumières apportées par le soleil se faufilent entre les feuilles des arbustes. J’entends le cliquetis de l’eau et observe les yeux admirateurs de chacun. Dans le bassin, que les oiseaux survolent en chantant, les nénuphars flottent paisiblement. Le temps d’une minute, je me pose la question : réalité ou illusion?
Si le jardin apparait aujourd’hui comme une attraction touristique phare de Marrakech, et quelque peu  onéreuse (en particulier si vous décidez d’y déjeuner !), cela n’en est pas moins un endroit incontournable. Riche de son histoire, mais aussi des sensations et images qu’il nous offre, Majorelle est un réel paradis terrestre au milieu de la grande ville.
Tarifs d'entrée
Au jardin Majorelle :
Public : 40dh (4€)
Au musée jardin Majorelle :
Public : 20 dh (2€)

Hassan Aboutayeb : «Nous développons des circuits touristiques dans la région»


élu en tant que président du Réseau de développement du tourisme durable qui a été dernièrement créé au niveau de la région du Souss-Massa-Drâa, Hassan Aboutayeb nous trace les objectifs et les missions de ce réseau.


ALM : Vous avez été élu président du Réseau de développement du tourisme rural qui a été dernièrement constitué. Pouvez–vous nous donner un aperçu sur ce réseau et sur les circonstances de sa création ?
Hassan Aboutayeb : Le Réseau de développement du tourisme rural (RDTR) a été créé lors d’une assemblée constituante qui a eu lieu le 20 mai 2011 au siège de la région du Souss-Massa-Drâa à Agadir. Ce réseau regroupe les porteurs de projets touristiques ruraux de la région du Souss-Massa-Drâa. En effet, ce territoire regroupe des centaines de PME et des très petites entreprises touristiques rurales disséminées dans les neuf Provinces qui le composent. Lesdites entreprises ont pour vocation l’hébergement, la restauration et l’animation ainsi que les activités récréatives situées en milieu rural.
Ce réseau est soutenu par le conseil régional du Souss-Massa-Drâa et par plusieurs autres acteurs locaux (délégation régionale du tourisme, les pays d’accueil touristiques, le conseil provincial du tourisme, les communes et les associations professionnelles, etc.)

Quel sera l’apport de ce réseau en termes de promotion de la région?
Les objectifs sont multiples. Ils visent principalement à dynamiser l’économie locale par un effet d’entraînement à l’échelle territoriale et in extenso à lutter contre la pauvreté inhérente à ces régions. La promotion des projets touristiques ruraux est certainement l’un des objectifs majeurs de ce réseau, car, malheureusement, ces projets sont souvent le parent pauvre du secteur touristique dans notre région.

Quels sont les mécanismes de travail de ce réseau ?
Le RDTR a élu un bureau exécutif composé de 19 membres dont 2 représentants par province. Ce bureau va dans ce sens orienter sa stratégie vers la promotion, la commercialisation ainsi que la formation. Dans le même cadre, nous allons travailler sur l’écolabellisation et le développement des circuits touristiques.

http://www.portail-femme.com

Le tourisme rural au secours des villages

Pour propulser les zones rurales économiquement défavorisées et leur assurer une place privilégiée dans le domaine des loisirs, une mise à niveau de leurs potentialités est nécessaire.
Le tourisme vert et rural est un nouveau créneau qui va placer la commune quelque peu marginalisée dans la conception globale de destination privilégiée à même de lui assurer une vocation originelle de loisirs. L'essor du tourisme rural est en mesure de donner une nouvelle impulsion au développement des zones économiquement défavorisées en favorisant l'emploi et l'ouverture de la région. Dans ce sens, les atouts des communes rurales relevant de la préfecture de Mohammedia pourraient être valorisés pour attirer d'avantage d'investisseurs mais les infrastructures restent en deçà des exigences d'accueil, ce qui limite les nombreux visiteurs nationaux et étrangers.

La commune rurale de Sidi Moussa Al Majdoub, l'une des plus pauvres de la préfecture de Mohammedia dispose pourtant de nombreux atouts naturels dont des sites exceptionnels. Elle se trouve, entre autres, à proximité des forêts Oued Al Maleh, du site des cascades, barrage Oued Hassar. Mettre en avant les richesses naturelles de cette commune la propulserait dans la hiérarchie des destinations à vocation touristique rurale, sportive et récréative, répondant ainsi aux besoins d'une importante population en quête d'espaces de loisirs, ce qui va favoriser le développement de toute la région. Dans ce contexte, la réalisation de la ferme d'hôtes et parcs de loisirs comme Dream village a donné à la commune rurale de Sidi Moussa Al Majdoub une nouvelle dimension renforçant par la même occasion l'infrastructure touristique existante. Le lancement de projets similaires repositionnera Mohammedia et sa région dans le créneau d'un nouveau tourisme écologique et de loisirs. S'étendant sur vingt hectares clôturés et sécurisés et jouissant d'une situation privilégiée, Dream Village dispose d'une importante infrastructure, appartements, chalets, piscine, centre équestre, espace pour enfants, terrains de sport, lac, salle de gymnastique, tennis, restaurant, tente caïdale ainsi qu'un zoo pour développer la culture générale, le contact direct avec les animaux et le sens de découverte chez les enfants. Des balades pour enfants et adultes y sont organisées à pied ou sur poney ainsi que des activités sportives.

Le coût de cette réalisation avoisine les huit milliards de centimes générant plus de quatre-vingt emplois. Cette réalisation rentre dans le cadre de la relance du tourisme rural et écologique. Cependant, tous les efforts doivent s'orienter vers la mise à niveau du tissu industriel afin de préserver l'environnement et permettre à Mohammedia et sa région de s'engager réellement dans une politique sincère et utile à même de les repositionner comme destinations privilégiées et convoitées. D'autres efforts sont attendus pour la poursuite de cette politique, comme l'amélioration de l'infrastructure routière, l'éclairage, l'hygiène et la préservation de l'environnement. Pour cet habitant de Sidi Moussa Al Majdoub, la commune est confrontée à de multiples problèmes qui freinent son développement, autant dans le domaine du transport, de la santé, de l'éducation, de l'approvisionnement en eau, et doivent être au centre des préoccupations des responsables. Le secteur du tourisme et un levier du progrès économique à même de propulser la commune dans le tourisme rural vert et de loisir, encore faut-il appréhender le problème dans sa globalité.

Des déficiences criantes

En dépit de ses sites naturels et de son micro-climat, la commune rurale de Sidi Moussa Al Majdoub accuse un déficit notoire au niveau des infrastructures de base. Le secteur touristique notamment le tourisme écologique de loisirs et rural offre de nombreuses opportunités pour la relance socio-économique de cette commune. L'implantation davantage de projets de divertissement est nécessaire pour sortir la région de son isolement.
La mise en relief des atouts et des richesses naturelles de la région de Mohammedia donnerait une configuration salvatrice à son développement et favorisera la création d'emplois.


http://www.lematin.ma

Taza : tombée de rideau sur le 15ème festival culturel et touristique de Bab Boudir


Taza, 25/07/11- Le rideau est tombé, dimanche soir, sur la 15 ème édition du festival culturel et touristique de Bab Boudir (province de Taza) par la prestation d'artistes et troupes dont le groupe "Al Kawakib"qui ont enchanté le public nombreux.

Placé sous le thème "le tourisme de montagne au service du développement", ce festival a été notamment marquée par un défilé, en présence notamment du gouverneur de la province, Abdelghani Sebbar et auquel ont participé des jeunes des colonies de vacances de Bab Boudir et Admam, des associations de la société civile et des cavaliers.
Ce défilé, accompagné par une troupe de la ville de Sefrou, a été agrémenté de chants et danses des troupes patrimoniales de Ghiata, Branse, Ait Warayne, Gueldamane, de Houara Ait Rahhou et d'un ensemble de Chikhates de Khénifra.
En marge de cette manifestation, des ambulances, acquises avec le soutien de l'Initiative nationale pour le développement humain (INDH) à la commune rurale de Bab Boudir ont été remises par M. Sebbar.
Initié par l'Association du Festival Culturel et Touristique de Bab Boudir, avec le concours du Conseil provincial de Taza et du Conseil de la région de Taza Al Hoceima-Taounate et l'Agence pour le développement et la promotion des provinces du Nord (APDN), ce festival se veut une opportunité pour la mise en relief des potentialités naturelles, culturelles et touristiques que recèle la région dans l'objectif de dynamiser l'activité économique.
map 

Plage d’Assilah : Le «Pavillon bleu» hissé pour la 5ème fois


Grâce aux efforts déployés par l’ONCF, la plage d’Assilah a pu hisser pour la cinquième saison consécutive le label «Pavillon bleu».


Le «Pavillon bleu» flotte de nouveau sur la plage d’Assilah. Grâce aux efforts déployés par l’Office national des chemins de fer (ONCF), cette plage a réussi à obtenir pour la cinquième année consécutive cet éco-label à forte valeur ajoutée touristique et écologique. «L’ONCF confirme, encore une fois, ses engagements d’entreprise citoyenne animée par le dessein de concrétiser le droit à des plages propres pour tous», selon un communiqué de l’Office.
Par ailleurs, le label «Pavillon bleu», récompensant la meilleure qualité de site balnéaire, est reconnu à l’échelle internationale. Selon les responsables de l’ONCF, cette distinction est attribuée par la Fondation internationale pour l’éducation à l’environnement (FEE), qui est une organisation internationale non- gouvernementale composée d’Etats membres européens, et au sein de laquelle le Maroc est le deuxième pays d’Afrique à être représenté.
Le même communiqué fait part que la mise en œuvre du partenariat conventionnel liant l’ONCF et la commune urbaine d’Assilah à la Fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement a permis de poursuivre les efforts engagés depuis six années en remplissant tous les engagements pris par l’Office pour le succès de l’opération baptisée «Faisons sourire nos plages». Ces engagements se déclinent «en infrastructures d’accès incluant l’accessibilité des personnes à mobilité restreinte, les installations sanitaires, l’aménagement d’un parking, d’un mur de soutènement avec des escaliers d’accès à la plage, l’acquisition des équipements de secourisme et de sauvetage : zodiac, jet-ski, miradors de surveillance, accessoires nécessaires aux maîtres- nageurs et autres», note-t-on.
L’ONCF a, en outre, organisé des campagnes de sensibilisation et d’éducation environnementale au bénéfice des estivants et des résidents par la distribution de plaquettes et dépliants et l’implantation de panneaux et de banderoles.
A cet effet, l’Office encourage le public à préserver la propreté des plages, ainsi que les activités d’animation sous forme d’ateliers pour enfants. Il s’agit d’ateliers de récupération et de recyclage ainsi que celui de vernissage et exposition dont «l’objectif est de développer les activités de groupe et encourager la sociabilité», précise le communiqué.
Soulignons qu’à l’instar des saisons précédentes, l’ONCF programme, cette année, des séances de projections de films dans la voiture-cinéma garée sur place, des tournois sportifs et jeux ludiques.
Dédiée à l’opération «Faisons sourire nos plages», une grande œuvre sera réalisée par des matières et matériaux d’origine naturelle et puisés dans la plage par l’artiste-peintre français, Luis Pasina.
 

SIDI IFNI


Au bord d'un plateau rocheux dominant l'océan d'une cinquantaine de mètres, Sidi Ifni fut
espagnole jusqu'en 1969. Elle s'est dépeuplée depuis, mais elle garde le souvenir de
cette longue occupation par une atmosphère et un cachet bien ibériques. Un bon équipement
hôtelier, rare dans ces contrées, en fait l'une des étapes agréables du Grand Sud.
Sur la route des Canaries. La présence espagnole à Sidi Ifni remonte à 1476 lorsque, sous
le nom de Santa Cruz de Mar Pequefia, on y construisit un fort pour assurer la protection
de la route des Canaries. Chassés en 1524 par les Saadiens, les Espagnols se virent
accorder le droit de s'y réinstaller en 1860, par le traité de Tétouan. Ils ne s'y
implantèrent vraiment qu'en 1934. Après en avoir fait en 1959 une «province espagnole
d'Afrique », bien que depuis deux années la plus grande partie du territoire de l'enclave
ait été aux mains des Marocains, l'Espagne la restitua définitivement en 1969.
- En 25 ans, la ville a perdu les deux tiers de sa population et l'atmosphère s'en
ressent. Tout y semble trop calme, comme à l'abandon. Le soir pourtant, comme dans les
cités espagnoles, son «paseo» sort de sa torpeur ambiante, lorsque les habitants
arpentent cette promenade à flanc de falaise. Ils gravissent les doubles escaliers et
s'accoudent aux balustrades avant de se rendre sur la charmante place, ancienne place
d'Espagne portant désormais le nom du roi du Maroc.
- Les bâtiments de la place Hassan-II, dont l'ancien Consulat espagnol, ont été fraî
chement repeints et arborent des couleurs pimpantes.
L'ancienne église de style «art déco mauresque» est devenue palais de Justice. On peut
jeter aussi un coup d'oeil à la poste et au joli marché qui s'anime vers 14 h, après le
retour des pêcheurs. La plage est réputée pour le surf.
Environs de Sidi Ifni
La côte Nord Au Nord de Sidi Ifni, les contreforts de l'Anti-Atlas se perdent dans l'océ
an en un rivage d'une grande beauté que parcourt une route sinueuse, souvent en belvédère

http://www.maroctourisme.org

La route du Tizi n- Tichka


Comme celle du Tizi n-Test, la route qui relie Marrakech à Ouarzazate offre à ceux qui l'empruntent les incomparables paysages du Haut Atlas, en particulier aux abords du col du Tizi n- Tichka. Mais les décors grandioses ne sont pas les seuls points d'intérêt. Sur le chemin se trouve l'impressionnante kasba de Télouet, certes très abîmée mais néanmoins évocatrice d'un glorieux passé. La kasba des Ait Benhaddou, en revanche parfaitement préservée, constituera l'autre étape incontournable de cet itinéraire.
Accès : 198 Km depuis Marrakech jusqu'à Ouarzazate par la P24 (que l’on suit sur seulement 7 Km) et la P31. Parcours sans difficulté majeure mais la route est très sinueuse. Elle est empruntée par de très nombreux : cars et camions. Entre janvier et avril, le col peut être fermé; des panneaux sont alors mis en place par la Sécurité routière.
Liaison en bus Marrakech Ouarzazate (compter 4 a 6 h de trajet) : renseignements a la gare CTM de Marrakech.
Durée : cette liaison est possible en une demi-journée, mais il serait dommage de ne pas lui consacrer une journée complète pour faire les détours de Telouel (Km 106) et de Ait Benhaddou (Km 176), et pour pleinement profiter de la splendeur des paysages.
Bien qu'il existe une sortie plus directe, il est préférable de quitter Marrakech par la route de Beni Mel(P 24).
- 7 Km : laisser tout droit la route de Beni Mellal et prendre à droite.
- 36 Km :à gauche Ait Ourir, gros village au pied de l’Atlas, marché le mercredi
- 42,5 Km : on pénètre dans une cluse où l’oued Zat se fraie un passage le long des pentes du djebel Tasghimout.
- 54,5 Km : belle vue à dr. sur le massif du djebel Yagour et le djebel Guedrouz.
- 67 Km : col du Tizi n-Ait Imquer (1 470 m) ; vue à gauche sur le massif du djebel Tistouit (3 224 m). Peu après, à gauche en contrebas, on aperçoit dans un cirque de montagnes grandiose le village d'Aghbalou, avec un agadir en pisé rose.
Sur ce versant sud de l'Atlas, la luminosité se fait plus intense, le ciel plus bleu... le Sahara n'est pas loin.
Les villages de pise sont plus décorés, les maisons plus hautes, annonçant les belles kas bas du Sud marocain. Les pins d'Alep, eucalyptus, palmiers doums et genêts sont nombreux.
- 70,5 Km : route à gauche pour Rad-Zerekten (2 Km), ou se dresse une kasba qui appartint aux pachas de Marrakech.
- 86 Km : Taddert, petit village dans un site alpestre. La route s'élève en lacets très serres pour franchir le col du Tichka.
- 102 Km : col du Tizi n- Tichka, le «col des pâturages », à 2 260 m d'altitude, au cœur des montagnes de l'Atlas. Ce col dénudé souvent balaye par des vents violents est le passage routier le plus élevé du Maroc.
- 106 Km : à gauche, route pour Telouet à 21 km.
- 110 Km : col dn Tizi n-Lebsis, à 2125 m d'alt., dans une contrée rocheuse et tourmentée. La route descend ensuite dans la vallée de l'oued Tamesnar.
- 112 m : Agnelmons, le premier village caractéristique que l'on rencontre après le Tizi n- Tichka et où la route forme un grand lacet.
- 118 Km : Igherm n-Ougdal (1970 m), village fortifie près d'une kasba.
Sur la g. en sortant du village, bel igherm de pise rouge construit sur un soubassement de pierre. Pour visiter, s'adresser au gardien.
Très caractéristique, l'intérieur de ce grenier fortifie se compose de nombreuses cellules dont les portes peintes de motifs berbères sont fermées par des serrures de bois. Chaque famille possède sa case, sorte de coffre-fort dans laquelle sont entreposées les denrées périssables. Une échelle permet d'accéder à la terrasse qui domine tout le village.
- 126 Km : à partir d'Agouim, la route s'oriente vers le sud-est, et continue à descendre la vallée de l'asif Imini, jalonnée de kasbas. Jolies vues en arrière sur le Haut Atlas.
- 144 Km : Tiseldei, hameau au pied d'une belle kasba juchée sur un piton.
- 152 Km : lflit, ksar de la tribu des Ait Zineb.
- 161 Km : Amerzgane ; marche le dimanche. 2 Km plus loin, village d'El M'dint avec une kasba aux tours très décorées.
- 166,5 Km : à droite, kasba de Tadoula herissee de tours de pise rose, au bord d'une palmeraie.
- 176 Km : route à gauche pour Ait Ben-haddou
- 178,5 Km : on aperçoit à droite, dans un beau cadre de palmiers, les ksour de Tazentoute et de Tikirt.
- 191 Km: route à dr. pour Zagora , qui évite la traverse de Ouarzazate.
- 198 Km : Ouarzazate

Tourisme Responsable 2011 catégorie « Solidaire »

 MAROC : LE NOMINÉ EST…TERRE D’AMANAR !

Terres d’Amanar nominées des Trophées du Tourisme Responsable 2011 catégorie « Solidaire », première étape vers la sélection des lauréats !
Terres d’Amanar, un concept touristique d’envergure, atypique et intégré A 1200 mètres d’altitude et à 37 kilomètres de Marrakech, les Terres d’Amanar offrent un panorama exceptionnel et toute une série d’activités (accro-park, randonnées découverte, ateliers d’initiation à la cuisine ou à l’artisanat) pour prendre le temps de renouer avec l’essentiel, de découvrir la culture berbère et d’admirer l’environnement naturel de cette région rurale.
Depuis, l’installation des premiers bivouacs il y a 6 ans et l’ouverture des lodges et tentes-lodges, les Terres d'Amanar font désormais vivre directement ou indirectement près de 250 familles, avec 130 employés recrutés dans les villages alentour. Si les Terres d’Amanar leur ont permis de rester sur la région, le projet leur permet également d’acquérir des formations qualifiantes dans des domaines divers (encadrement sportif, écoconstruction, jardinage raisonné, hôtellerie, cours d’alphabétisation, etc.) et de participer à l’évolution de ce projet atypique, complètement ancré dans la vie économique et sociale locale. En effet, le succès de Terres d’Amanar repose sur les initiatives de chacun, sur la qualité de l’accueil et sur les relations tissées entre le site et la région.
Terres d’Amanar, nominées des Trophées du Tourisme Responsable 2011L’engagement des Terres d’Amanar pour un tourisme différent et durable au Maroc, se voit déjà récompensé par une nomination aux Trophées du Tourisme Responsable 2011, 1ère étape de la sélection définitive des lauréats qui sera dévoilée le 21 septembre à Paris. Organisés par Voyages-sncf.com et ses 20 partenaires depuis 5 ans, ces trophées soutiennent et récompensent ceux et celles qui, au quotidien, se mobilisent et innovent pour un tourisme plus respectueux de l’environnement et des hommes.
Pour cette 5ème édition, le vote du public compte pour 50% dans la sélection des lauréats. Alors pour tous ceux qui connaissent Terres d’Amanar et qui souhaitent un tourisme au Maroc vert et solidaire, une seule adresse pour voter :
http://voyage-responsable.voyages-sncf.com/votez-trophees/

Le Maroc constitue "une destination de choix pour le tourisme d'affaires"


Le Maroc recèle des atouts indéniables qui lui permettent de s'imposer comme une destination de choix sur le marché du tourisme d'affaires et de congrès pour les professionnels chinois désireux d'organiser leurs manifestations dans de nouveaux marchés, a souligné Mme Yong Hong Sun, rédactrice-en-chef du magazine "China International Conference & Exhibition", organisatrice du Salon international du tourisme d'affaires et de congrès "Expo Project Fair for International Cooperation".
Au carrefour de l'Afrique et de l'Europe, le Royaume bénéficie d'une facilité d'accès et dispose d'avantages qui répondent aux exigences de ce segment pointu et ciblé, avec pour toile de fond sa capacité de capitaliser ses ressources naturelles et son patrimoine culturel et civilisationnel, a déclaré Mme Yong en marge de la 2éme édition du Salon international du tourisme d'affaires et de congrès (Pékin 8-9 juillet).
L'experte chinoise a affirmé que l'image du Royaume, l'hospitalité de ses habitants et les infrastructures de pointe dont il s'est dotées font de ce pays une destination de choix pour le tourisme d'affaires et MICE (Meetings, Incentives, Conferences, Exhibitions), ajoutant que ce créneau "représente une extraordinaire opportunité de développement".
Marrakech, Meknès et Casablanca: des villes phares pour le tourisme du MICE
Les villes de Marrakech, Meknès et Casablanca sont des villes phares pour le tourisme d'affaires et de congrès dans le Royaume, a souligné Mme Yong, ajoutant que le développement des infrastructures et l'augmentation de la capacité litière "offrent une excellente opportunité pour les organisateurs d'événements internationaux désireux de découvrir de nouvelles destinations".
Dans ce sens, elle a rappelé que la cité ocre a déjà organisé des événements internationaux de grande envergure, notamment la Conférence ministérielle du GATT en 1994 qui a donné naissance à l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC), et qui avait connu la participation de 3.000 délégations venus de 124 pays.
Elle a également indiqué qu'une importante délégation chinoise a participé récemment à la 6ème édition du Salon international de l'agriculture au Maroc (SIAM), tenue du 27 avril au 1er mai à Meknès, ajoutant que ce Salon est "devenu un rendez-vous incontournable dans le domaine de l'industrie agroalimentaire".
Par ailleurs, de nombreuses délégations chinoises en quête de nouveaux marchés ont pris part à plusieurs Salons économiques et commerciaux à Casablanca, notamment dans les secteurs de l'aéronautique, de l'industrie médicale et paramédicale, des équipements de pêche et des télécommunications, a-t-elle rappelé.
Les opérateurs chinois expriment leur intérêt pour le Maroc
Deux jours durant, le stand marocain au Salon international du tourisme d'affaires et de congrès -aménagé conjointement par l'ambassade du Royaume en Chine et la délégation de l'Office national marocain du tourisme (ONMT) à Pékin, a accueilli des opérateurs chinois venus de vingt provinces et représentant des différents secteurs pour s'enquérir de la destination Maroc.
Les professionnels chinois, qui ont eu une série de rencontres avec leurs homologues marocains, ont exprimé leur intérêt pour le produit Maroc en tant que "destination émergente" pour les clients chinois.
"Le stand Marocain a été très fréquenté, ce qui reflète l'intérêt des opérateurs chinois pour le produit Maroc", a souligné Mme Yong, ajoutant que le Salon "Expo Project Fair for International Cooperation" a offert une excellente plateforme pour promouvoir le Royaume en tant que destination du tourisme d'affaires et de congrès et faire connaitre les potentialités du pays à accueillir les grands événements internationaux.
Motivées par le développent de l'économie de leur pays, les multinationales chinoises dans différents secteurs cherchent à s'implanter au Maroc qu'elles considèrent comme plateforme essentielle pour accéder aux marchés africain et européen, a ajouté l'experte chinoise.
"Expo Project Fair for International Cooperation", exclusivement consacré aux professionnels du secteur des conférences, évènements, voyages d'affaires et congrès, a connu la participation de plus 400 exposants en provenance de 15 pays et plus de 20 provinces chinoises.
MAP-www.aufaitmaroc.com

Le tourisme interne, 2è marché après celui français, est "extrêmement" important pour l'équilibre du secteur


Le tourisme interne, deuxième marché après celui français en termes de nuitées, demeure d'une extrême importance pour l'équilibre du secteur, a affirmé le Directeur général de l'Office national marocain du tourisme (ONMT), Hamid Addou.
"Pour l'heure, notre principal focus sera le tourisme interne", a souligné M. Addou dans un entretien paru mercredi au quotidien +L'Economiste+, faisant savoir que l'office a opté cette année pour "une communication autour de l'expérience" des opérateurs.
Il a déploré à cet égard que "le produit hôtelier disponible actuellement, notamment hôtelier, n'est pas adapté à une majorité de la clientèle, le budget voyage nécessaire étant prohibitif", sachant que de nouvelles capacités et de nouveaux types d'hébergement ont été développés afin de répondre à une plus grande demande.
"En attendant, nous sommes dans l'obligation d'offrir le produit actuel à des prix compétitifs. Nous devons aussi présenter les destinations phares de notre pays, de manière à inciter les touristes à les visiter", a souligné M.
Addou, rappelant qu'une étude récente sur le tourisme interne a permis de "dégager une segmentation dynamique des consommateurs et mettre en place les axes de communication visant à convaincre les Marocains à voyager chez eux".
Evoquant l'opération Kounouz Biladi, M. Addou a fait remarquer que "cette marque" qui existe depuis 2003 a évolué dans le temps en passant d'"une offre basée sur les prix uniquement, jusqu'en 2008, à une offre alternant tarifs promotionnels et expérience depuis 2009".
Il a en ce sens indiqué que l'ONMT conçoit ses campagnes de tourisme interne selon les disponibilités d'une offre "marketable", expliquant que "plus celle-ci est riche en quantité et en prix agressifs, plus elle sera axée sur une communication produit-prix".
"Cette année, nous avons opté pour une communication autour de l'expérience uniquement, sans mise en avant du prix, vu qu'une majorité des hôtels et agences de voyages ont opté pour des stratégies prix propres à chaque établissement, au lieu d'un tarif unique, par catégorie d'hébergement, comme en 2009", a-t-il dit.
M. Addou a par ailleurs annoncé que l'ONMT à préparé un plan "agressif" pour les 6 prochains mois de même qu'il a prévu une nouvelle campagne de communication autour de la marque Maroc et de certains destinations, faisant savoir que celle-ci va être "suffisamment innovante pour nous démarquer de nos concurrents et qu'elle sera couplée au lancement d'un programme de fidélité à destination des agents de voyages".
MAP-www.aufaitmaroc.com

Le flux touristique portugais au Maroc en hausse de 47,8% à fin avril 2011


La tendance du marché touristique émetteur portugais au Maroc a affiché une importante performance en termes d'accroissement des arrivées qui ont progressé de 47, 8% entre janvier et avril, par rapport à la même période de 2010, indique l'Office national marocain du tourisme à Lisbonne.
Les nuitées réalisées par les touristes portugais dans les établissements classés ont également progressé de 24,5% au cours des quatre premiers mois de l'année 2011 par rapport à la même période de l'année précédente, selon la représentation de l'ONMT.
Au cours du mois d'avril dernier, le flux des portugais au Maroc a connu une hausse considérable en termes d'arrivées (+53,20%) et de nuitées (+18,55%) comparativement au mois d'avril 2010, ajoute la même source.
La saison Eté affiche une forte demande sur la destination Maroc ainsi que la programmation par les Tours Opérateurs portugais de plusieurs charters, notamment à destination de la station balnéaire Saidia et de la région Tanger-Tétouan, au départ de Lisbonne et Porto, les deux principales villes émettrices de touristes au Portugal.
L'offre touristique Maroc sur le marché portugais reste diversifiée et prisée, ce qui permet sa programmation tout au long de l'année par la quasi-totalité des prescripteurs de voyages portugais (Marrakech, Agadir, Villes impériales,....).
Diverses actions promotionnelles ont été initiées en vue de consolider le positionnement de la destination Maroc aussi bien auprès du grand public que des opérateurs touristiques, indique la même source, notant que le marché émetteur portugais au Maroc continuera à connaitre une tendance progressive et constituera un tremplin pour opérer une extension vers les marchés lusophones importants, tel le Brésil.
MAP-www.aufaitmaroc.com

Taza acceuille le 15ème Festival culturel et touristique de Bab Boudir du 22 au 24 juillet


Le 15ème Festival culturel et touristique de Bab Boudir, se tiendra du 22 au 24 juillet au centre estival de Bab Boudir (province de Taza) sous le thème"le tourisme de montagne, au service du développement".
Initié par l'Association du Festival Culturel et Touristique de Bab Boudir, avec le concours du Conseil provincial de Taza et du Conseil de la région de Taza Al Hoceima-Taounate, ce festival se veut une opportunité pour la mise en relief des potentialités naturelles, culturelles et touristiques que recèle la région dans l'objectif de dynamiser l'activité économique avec l'arrivée de dizaines de milliers de visiteurs dont un grand nombre de MRE originaires de la province.
Ce festival sera marqué par des activités culturelles, artistiques, sportives ponctuées par des jeux traditionnelles de fantasia "Tbourida" avec la participation des équipes "Sorbas" de cavaliers représentant la province de Taza et sa région.
Le programme prévoit une opération de sensibilisation à la protection de la forêt et à la lutte contre les maladies de leishmaniose et du Sida, un défilé officiel avec la participation des cavaliers et leurs chevaux harnachés, des troupes folkloriques de Rhiyata, Branse, Ait Warayne et d "Ahidous de l'Atlas et de Guercif, des expositions d'articles d'artisanat, de produits manufacturés et des réalisations socio-économiques de la province.
Figurent aussi au programme des soirées artistiques et de variétés en plein air et des compétitions sportives dont une course de montagne, un cross country sur route et des concours de tirs aux plateaux, de pétanque, de natation, des jeux d'échecs et une exhibition en arts martiaux.
Outre son aspect festif, culturel et artistique, ce festival annuel constitue une précieuse occasion pour faire connaître les potentialités naturelles de la commune rurale de Bab Boudir et de la province et les possibilités d'investissement dans le domaine du tourisme de rural et de montagne.
MAP-www.aufaitmaroc.com